Le 30 mai 2017, dans le cadre du dialogue ouvert avec les partenaires sociaux, l’UNSA a rencontré le Premier Ministre, accompagné de la ministre du Travail.
La réforme du code du Travail par ordonnances était au cœur de cet entretien.
L’UNSA a fait valoir son désaccord avec le plafonnement des indemnités pour licenciement abusif imposé aux Prud’hommes.
Elle a aussi fait connaître son opposition à un référendum d’entreprise à la main de l’employeur, dès lors qu’il aboutirait à contourner la démocratie représentative et les organisations syndicales.
Concernant la mise en place d’une forme unique de représentation des personnels dans toute entreprise à partir de 50 salariés, l’UNSA estime qu’elle ne peut se concevoir sans garanties données quant à la préservation des missions exercées aujourd’hui séparément par les CE, DP et CHSCT et sans renforcement des moyens en temps, en communication et en formation pour les représentants des personnels.
Pour lire la suite : c'est ICI...